Bonjour à tous.
Jai découvert dans un document datant de 1625 , un différent concernant les échevins et et en l'occurrence le meunier concernant : Les mesures de mouture . Je me pose la question suivante s'agit-il de la qualité de la farine ? Ou alors la quantité de blé moulu . Malheureusement malgré des recherches sur internet je n'arrive pas à trouver réponse à mon interrogation .
Ma question n'est pas facile malgré tout je tente ma chance en espérant être lu par un passionné des Meuniers.
Merci d'avance pour votre aide
Cordialement .
Bruno B
Sujet sur les meuniers ( Mesure de Mouture)
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Re: Sujet sur les meuniers ( Mesure de Mouture)
Bonjour Bruno
Cet acte mentionne une sentence contre le chapitre Sainte Aldegonde en faveur des Bourgeois de la ville de Maubeuge au sujet des mesures de mouture de leurs moulins.
Il s'agit selon moi d'un diffèrent concernant le droit de mouture et non de la qualité de la farine. Le droit de mouture était un pourcentage prélevé par le meunier au profit du propriétaire du moulin. Il était payé en nature ou en espèces. Il était en Avesnois prélevé au vingtième pour les moulins banaux. Les religieuses de Ste Aldegonde souhaitaient prélever au seizième prétextant que leurs moulins n'étaient pas banaux. ici en 1625 elles n'eurent pas gain de cause. Par contre à Bousignies-sur-Roc à leur moulin de Landignies, elles eurent satisfaction : par sentence de l’intendant du 28 juin 1714 les habitants furent déboutés de leur plainte.
Bonne journée
Jean Pierre Carré
Cet acte mentionne une sentence contre le chapitre Sainte Aldegonde en faveur des Bourgeois de la ville de Maubeuge au sujet des mesures de mouture de leurs moulins.
Il s'agit selon moi d'un diffèrent concernant le droit de mouture et non de la qualité de la farine. Le droit de mouture était un pourcentage prélevé par le meunier au profit du propriétaire du moulin. Il était payé en nature ou en espèces. Il était en Avesnois prélevé au vingtième pour les moulins banaux. Les religieuses de Ste Aldegonde souhaitaient prélever au seizième prétextant que leurs moulins n'étaient pas banaux. ici en 1625 elles n'eurent pas gain de cause. Par contre à Bousignies-sur-Roc à leur moulin de Landignies, elles eurent satisfaction : par sentence de l’intendant du 28 juin 1714 les habitants furent déboutés de leur plainte.
Bonne journée
Jean Pierre Carré
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