Roubaix entre dans le XX^ème siècle au rythme effréné de ses métiers à tisser automatisés. Surnommé le « Manchester français » autant que « la ville aux mille cheminées », Roubaix est alors le centre névralgique du textile, dont l’apogée se concrétise par l’Exposition internationale du Nord de la France en 1911. Cent ans plus tard, après une désindustrialisation douloureuse, la ville est sur la voie de la reconversion culturelle et artistique. L’occasion pour nous de parcourir en images cette époque symbolique dans l’histoire roubaisienne.